Fin d'année, nul doute qu'elle pourra se présenter au concours de la pire mère du monde. Regardez cette scène tournée par une caméra de surveillance dans une gare d'Argentine, qui met en scène une mère et sa fille...
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mardi 11 janvier 2011
dimanche 12 décembre 2010
Pas de vaccins? Privé de crèche
Des parents contestent l’administration “obligatoire” de neuf vaccins aux enfants admissibles dans les crèches et les gardiennats, en Wallonie et à Bruxelles. Ils interpellent les ministres de la Communauté française. Et envisagent des actions judiciaires. Les crèches et les gardiennes sont interdites aux enfants de moins de 3 ans qui ne se sont pas vu administrer neuf vaccins (1), en Wallonie et à Bruxelles. Un collectif de 21 parents s’en émeut: ils se demandent pourquoi la Communauté française ne limite pas son exigence au seul vaccin obligatoire, celui contre la poliomyélite. A défaut de réponse, les plaignants sont disposés à intenter une action judiciaire.


Chaque année, quelque 54.000 enfants se voient administrer les vaccins Infanrix Hexa ou Priorix, en Communauté française. Pour la moitié d’entre eux, c’est l’Office de la naissance et de l’enfance (ONE) qui procède à la vaccination.Si seul le vaccin contre la polio est légalement obligatoire, l’arrêté du 27 février 2003 qui règlemente les milieux d’accueil permet de refuser l’admission en crèche ou en gardiennat encadré des enfants qui ne se sont pas vu administrer les neuf vaccins recommandés par l’ONE.
Ce texte, proposé par le ministre de l’Enfance Jean-Marc Nollet (Ecolo), précise que “tout enfant” doit être vacciné “selon les modalités déterminées par l’ONE dans le cadre du schéma élaboré par la Communauté française”. Il ajoute que “les vaccinations” (au pluriel) sont pratiquées sont pratiquées par le médecin de la consultation des nourrissons ou par un médecin choisi par les parents. Dans ce cas, les parents doivent fournir au milieu d’accueil “la preuve des vaccinations” (au pluriel).
Malgré les courriers adressés, le 29 novembre, aux ministres Evelyne Huytebroeck (Ecolo), Fadila Laanan (PS) et Jean-Marc Nollet, les 21 plaignants n’ont toujours reçu aucune explication... “L’administration obligatoire de vaccins aux enfants admissibles dans les crèches ou les gardiennats agréés nous paraît abusive, commente l’ex-parlementaire européen Ecolo Paul Lannoye. Qui s’inquiète, par ailleurs, des additifs et des excipients qui entrent dans la composition de ces vaccins: “Des sels d’aluminium, qui sont reconnus comme neurotoxiques, du formaldéhyde, cancérigène”. Paul Lannoye insiste: “Les parents doivent avoir le droit de refuser une pratique médicale qui pourrait être dommageable”,
“Nous ne sommes pas ici dans une démarche anti-vaccins, poursuit l’avocat des plaignants, Georges-Henri Beauthier. Nous nous demandons juste pourquoi on impose une charge de neuf vaccins à des enfants de moins de trois ans, alors qu’un seul est obligatoire”. L’avocat n’exclut pas, faute de réponse convaincante des autorités, d’introduire une action en réparation, au tribunal civil.
Aux cabinets des ministres Laanan et Nollet, on assure qu’une réponse sera apportée aux questions des plaignants... On y insiste sur le fait que les vaccins recommandés ont “largement fait leurs preuves... Il y a donc un sens à les recommander”.
(1) Contre la diphtérie, le tétanos, la coqueluche, l’hépatite B, la poliomyélite, l’haemophilus influenzae B, la rougeole, la rubéole et les oreillons.
jeudi 2 décembre 2010
Les hôpitaux remplis d'enfants
Les cas de virus respiratoire syncytial (RSV), une infection respiratoire dangereuse pour les nourrissons et jeunes enfants, sont en hausse. De nombreux hôpitaux affichent complets, peut-on lire dans le quotidien Het Laatste Nieuws.

Le virus revient chaque année, mais on constate actuellement une forte augmentation des cas. « Le nombre total de patients touchés par le RSV est plusieurs fois supérieur à celui de ces dernières années et la maladie frappe également plus tôt que l'an dernier », indique la pédiatre Astrid Verbist de l'hôpital AZ Sint-Lucas à Gand.
La vraie épidémie n'est attendue qu'aux alentours de Nouvel An.
Le virus respiratoire syncytial s'attaque aux poumons et les enfants touchés souffrent de difficultés respiratoires. Ils respirent plus vite et commencent à tousser et « siffler », explique Gerlant van Berlaer, qui dirige le service d'urgences pédiatriques de l'UZ à Bruxelles. La maladie peut être mortelle, surtout pour les enfants ayant déjà des problèmes de santé.
(Belga)
Via lesoir.be
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